Pour finir l'année, je suis remonté vers Quito pour retrouver Guillaume, Anne et Enzo, 20 mois aprés...
Piéton, je commence en stop vers Cuenca. C'est la troisième ville du pays mais je l'ai trouvée bien agréable.
Pour le 21, j'espérais une cérémonie aux ruines d'Inga Pirca, les plus importantes du pays, mais les new ages du coin devaient certainement être allé au Guatémala...
Mais la crêche "miniature" est aussi une institution ici et tous les matériaux sont bons : bouteilles plastiques, circuits imprimés, paille toquila (des fameux chapeaux panamas), coquilles d'oeufs, chocolat, etc.
A coté de ça, l'Equateur, et Quito en particulier, offrent un art visuel intéressant.
Le peintre Guayasamin d'abord m'a impressionné, mais il y avait aussi une très bonne expo de graphistes contemporains.
Et le cinéma se développe bien dans ce petit pays. A l'automne dernier un festival parisien l'a d'ailleurs présenté (http://umafilms.wordpress.com/diffusion-2/deuxieme-semaine-du-cinema-equatorien/). J'ai vu par exemple "Que tan lejors" (en v.o. c'est même documentaire), "Black Mama" (expérimental, et réussi!), "Ratas, ratones y rateros" (l'Equateur qu'on ne voudrait pas...) et d'autres bons docus.
Et, retardés par une douane trop zélée, je retrouve enfin les amis guyanais.
C'est là qu'on passe le nouvel an. Ici on dit plutôt "passer la vieille année" et la tradition, comme dans tout le pays, est de faire des manequins qui représentent les misères qu'on a envie d'oublier, souvent accompagnés d'un petit texte. A minuit tout ça finit dans des grands feux de joie, en plein milieu de la rue !
La remontée vers Quito est aussi bordée de volcans mais les nuages nous gâchent un peu le plaisir ...
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